On quitte la région de Taranaki pour le sud de l’île. Nous passerons donc la journée à rouler, car c’est long et il n’y a pas tellement d’arrêt sur la route. On finira au cap Palliser, pour voir les Putangirua Pinnacles, des formations rocheuses ressemblant aux pyramides d’Euseignes au Valais.
Une petite promenade jusqu’aux Pinnacles
No comment…
La nuit est claire…
Le lendemain, en route pour Wellington et visite du musée Te Papa, présentant toute l’histoire des Maoris et de la NZ. Ce musée mérite bien trois jour de visite tellement c’est grand, mais nous n’y serons que quelques heures…
Les kiwis se livrent à une bataille contre les turcs durant la première guerre mondiale
On passe la fin de l’après-midi sur internet et dormons proche de la ville avant de prendre le ferry pour l’île du sud.
On voit déjà l’île du sud en allant dormir sur la plage de Wellington
Michele a enregistré sur arte un documentaire allemand (bien sûr diffusé en français) sur la Nouvelle Zélande. On y suit plusieurs personnes, révélant chacune un aspect du pays: un personnage historique, Julius von Haast, explorateur au 19e siècle, un géologue, un biologiste marin, deux chercheurs d’or (actuels!), une migrante, Regina Bernbeck, qui s’occupe d’un troupeau de 30’000 moutons mérinos à la ferme du Mont-Nicolas (http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/neuseeland-regina-bernbeck-lebt-auf-riesiger-farm-a-1009585.html). Des vêtements de mérinos, voilà ce qu’il vous faut! Et vous êtes à la source. L’émission nous intéresse d’autant plus que nous vous savons là-bas!
On se rend compte que votre van vous permet d’aller où vous voulez voir ce que vous voulez et de passer vos nuits sous un ciel sans pollution lumineuse devant des paysages époustouflants.
Première guerre mondiale. A force de n’entendre parler que de Verdun et de tranchées françaises et allemandes, on oublie la dimension mondiale. 11’500 soldats néo-zélandais tués en Turquie! Encore un aspect du colonialisme: engager dans une guerre qui n’a rien à voir avec eux des soldats qui n’ont rien à voir avec elle… L’exposition a l’air impressionnante, ne serait-ce qu’au niveau de l’échelle de la reconstitution.
J’espère que vous n’avez pas trop froid et vous embrasse, du coup, chaleureusement.
Michèle
Bonjour , ici c’est le printemps et pas l’automne comme chez vous mais on caille ;-( En plus aujourd’hui dimanche 7 mai il a plut qu’une seule fois brr.. je suis allée faire un sauna et c’était bien, cela m’a réchauffé les os. J’ai un peu pris du retard à la lecture, que de belles photos et aventures. Merci ! cela me fait rêver :-O) Je trouve que les fumerolles, c’est un phénomène bien particulier. Voilà une belle suite d’aventures et de gros becs. Catherine